L’art du bonsaï est désormais indissociable de l’esthétique japonaise. Il est rentré définitivement dans la culture populaire en France et dans le monde. Beaucoup l’ont compris.
Dans les années 90, l’imagerie du bonsaï était souvent associée au luxe et à la richesse. Notamment dans la publicité et dans l’industrie audiovisuelle.
La fascination de la nouvelle génération pour les cultures du Japon, fait qu’aujourd’hui, le rapper DEEN BURBIGO utilise l’imagerie du bonsaï dans son nouveau projet musical. Nul besoin de donner mon avis sur sa musique, je m’intéresse plutôt à l’utilisation du bonsaï dans sa communication. Il s’agit justement d’un rappel japonisant dans son concept, avec certains titres comme « og san » ou « ojisama« . Un peu comme d’autres avant lui (Notamment Orelsan pour Aurélien + san) Deen Burbigo considère surement que l’imagerie japonaise auxquelles renvoi le bonsaï, est positive en terme de graphisme pour lui.
Quoi de plus normale pour une génération élevée aux mangas et animées japonais ? Exactement, comme l’ont été avant eux la génération précédente avec les super sentaï depuis le début des années 80.
JY